Romans
J’ai publié 5 livres. Les deux premiers (Kill kill kill et Hot dogs and croissants) sont signés de mon nom de journaliste.
Les mal aimées, de caroline Bréhat
Quatrième de couverture : Ce roman partiellement inspiré d’un fait réel traite de l’inceste et surtout de sa généalogie en lien avec les violences intrafamiliales. Un enfant livré à son père incestueux est une douleur, une malédiction transgénérationnelle qui, si elle n’est pas traitée, risque de se reproduire dans les générations suivantes.
Un roman « juste et puissant » selon l’auteur de la préface, le juge Edouard Durand, coprésident de la commission sur les violences sexuelles et l’inceste.
« Tu vois, maman, le regard d’une mère est un acte d’affection, premier miroir de l’enfant qui prend soudain conscience de son existence ».
Mauvais père, de Caroline Bréhat
Quatrième de couverture : Un témoignage sur le syndrome d’aliénation parentale.
Le mari de l’auteur, Julian, cherche à obtenir la garde exclusive de sa fille pour se venger d’une séparation qu’il ne supporte pas.
Véritable pervers narcissique, connaissant parfaitement le système judiciaire américain, il réussit le tour de force de semer le doute sur l’état mental de son ex-femme. Il est même sur le point de la faire arrêter !
Mais elle s’envole in extremis avec sa fille pour la France.
Julian invoque la Convention de La Haye sur les enlèvements internationaux.
Caroline Bréhat est fugitive, hors-la-loi, et risque de ne plus jamais voir sa fille.
« Julian désirait être le seul objet de fascination de notre bébé, au même titre que notre bébé était le sien. Et dans cette triade infernale, j’étais de trop ».
J’ai aimé un manipulateur, de Caroline Bréhat
Quatrième de couverture : C’est une histoire vraie qui commence comme une belle histoire d’amour. Mais très vite surviennent les premières humiliations. Caroline ne comprend pas. Son compagnon l’enveloppe dans un halo de manipulation. Caroline se sent coupable et perd ses repères. Le tourbillon de violence verbale et psychologique s’accélère. Le cauchemar dure quatre ans. Un jour, c’est le déclic. Caroline comprend qu’elle ne doit pas se laisser détruire.
Elle apprend que ce qui lui est arrivé a un nom. La violence psychologique existe. Comme le harcèlement moral au travail, c’est une réalité longtemps niée et d’autant plus terrible qu’elle ne se voit pas. En racontant son histoire, Caroline Bréhat veut aider tous ceux qui vivent une relation abusive. Une enquête psychologique qui se lit d’une traite et permet de comprendre les mécanismes de la manipulation. Un message d’espoir pour ceux et celles qui subissent la maltraitance morale dans leur couple : on peut s’en sortir.
Ce roman a été traduit en 12 langues
« Tel un personnage de Molière, Julian était de plus en plus souvent incongru. Son comportement s’orientait vers l’emphase, et il semblait obsédé par son image ».
Kill, kill, kill, de Jimmy Massey et Natasha Saulnier
Quatrième de couverture : Au-delà d’un récit choquant et tragique sur la réalité irakienne, ce texte écrit par un ancien Marine américain est un témoignage sur la culture et la dégradation morale des militaires américains. Véritable réquisitoire contre l’armée et ses pratiques sanguinaires.
Ce témoignage a été traduit en 3 langues et a fait l’objet d’une adaptation au théâtre de Bruxelles, l’Atelier 210.
C’est à l’aune de la campagne de diffamation qui bat actuellement son plein aux US qu’on mesure la force du livre et l’importance des révélations de Massey ! Une telle profusion de détails, un récit aussi saisissant, cela ne s’invente pas ! C’est la vérité qui fait peur à une administration déjà bien dans le pétrin !
Hot dogs and croissants, de Natasha Saulnier et Victorine Saulnier
Quatrième de couverture : Lorsque les sœurs Saulnier subissent une déception de trop dans leur France natale, elles décident de plier bagage et de tenter leur chance en Amérique. En tant que journalistes, elles parcourent le pays, suivant des histoires qui les emmènent dans des endroits où la plupart des Américains ne sont jamais allés, des petites routes des Appalaches à un village souterrain de sans-abri dans le métro de New York.
« Les mésaventures culinaires de deux femmes françaises qui ont déménagé en Amérique, ont bien grossi, ont bien maigri (à nouveau) et ont maîtrisé l’art délicat de bien manger aux États-Unis. Livre avec plein de recettes à l’intérieur »
